Moin,
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COLLECTION RETOUR VERS LE PASSÉ t Deux types différents de broches de Krankenschwester définissants les fonctions au sein du corps des infirmières u Cette infirmière s’apprêtant à aller prodiguer des soins est habillée selon le règlement en vigueur dans la Croix rouge allemande. Quelque soit l’affectation des infirmières, que se soit dans un hôpital civil ou militaire, la tenue est la même pour tout le personnel DRK. La seule nuance pour les infirmières pour les hôpitaux militaires est le port du brassard de la croix rouge sur le bras gauche. Le règlement stipule que la blouse qu’elle soit à col arrondi ou à col droit doit être boutonnée jusqu’en haut, que les manches doivent fermer au niveau des poignets et que les bas doivent-être de teinte grise. Les chaussures sont elles aussi règlementées et les talons ne doivent pas excéder une hauteur de 15 mm. (Reconstitution) p Le personnel médical (Infirmières, médecins et brancardiers) d’une unité de soins mobile (Kr. Abt. I) pose devant un bâtiment de l’hôpital. 64 UNIFORMES | COLLECTION t Au même endroit en 2010. Le banc à changé mais certains arbres sont toujours là.
u L’armurerie de l’hôpital (WaffenKammer) est entretenue par un sous-officier vétéran du front russe décoré entre autres de la Croix de fer de seconde classe et de la médaille du premier hiver sur le front de l’Est. p L’Oberfeldartz (lieutenant-colonel) Dr Schumann, commandant l’Ortslazarett de la Pitié. u Le personnel allemand de la clinique Eastman se fait photographier devant le bâtiment durant l’hiver 41/42. Le Dispensaire Eastman Cet institut dentaire, construit en 1937, est situé à proximité de La Pitié au 158 avenue de Choisy (aujourd’hui 11, rue George Eastman). Réquisitionné par les autorités allemandes, le 8 septembre 1940, le Dispensaire dépend directement de l’Ortslazarett de la Pitié et prend le nom de Wehrmacht-Zahnklinik Eastmannder Kriegslazarett-Abteilung 680. Son commandant est l’Oberstabsarzt (commandant) Dr Schmidt. En septembre 1944, la clinique sert de lieu de détention et d’interrogatoires pour les collaborateurs (ou présumés) arrêtés. De nos jours l’aspect extérieur de la clinique n’a pratiquement pas changé. Remerciements à Carole Suppo-Diefenthal et au magasin parisien Le Poilu pour le prêt des objets illustrant cet article. q Casquette de cadre subalterne de la Croix rouge allemande. q Près de 70 ans plus tard le bâtiment n’a absolument pas changé ! COLLECTION | UNIFORMES 65
Quelle: UNIFORMES N°272 SEP/OCT 2010 Seite: 50/51
Gruß
Emerick